L’approche de base est de nature fasciale, dans la lignée de ce que nous ont apportés les ostéopathes crâniens américains (V.Frymann). Elle a conduit à modéliser que les mouvements spontanés non physiologiques ressentis lors de techniques fasciales correspondaient à de la libération d’énergie. Mais, il est vite apparu évident que les fascias ne sont pas les seules structures corporelles capables de retenir de l’énergie. Toutes le sont, d’où l’extrapolation vers approche tissulaire.
Les tissus du corps répondent à la qualité de présence du praticien, à la manière dont il gère et dirige son attention dans la structure et enfin à l’intention qui l’anime lorsqu’il entre en relation avec les structures corporelles de son patient.
Le modèle de l’approche tissulaire aujourd’hui, se fonde sur la promesse que le corps est fait de consciences communicantes, organisées en systèmes hypercomplexes, cette organisation étant le résultat d’une longue évolution.
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